À la clinique, une dentiste spécifique pour les enfants qui ont la frousse

L’anesthésie locale chez l’enfant est un problème à plusieurs niveaux. Il s’agit de dire comment la faire accepter par le jeune patient, comment la faire sans faire mal ou comment être efficace. «  L’approche de l’enfant n’est pas facile, soit parce qu’il a peur de l’inconnu, soit parce qu’il a peur de l’aiguille, de la piqûre. Il existe différentes façons d’aborder cet acte, qui dépendent de la psychologie du praticien et du patient  », explique-t-on à la clinique. Quand vous souhaitez savoir beaucoup,vous pouvez chercher plus de Machine à souder par points sur www.athenadental.fr



Avec l’ouverture d’un pôle de chirurgie dentaire à destination des enfants phobiques, la clinique continue d’étoffer son offre de soins. Le service existe au CHRU de Lille un mercredi par mois. À Blendecques, c’est tous les mercredis après-midi que le Dr Borowski exerce. Formée à Lille, elle s’est spécialisée dans cette nouvelle discipline, l’odontologie pédiatrique. La caméra intra-orale, à quoi ça sert ?

Ce sont donc les enfants de 4 à 8 ans qui sont essentiellement accueillis. «  Au-delà, on commence à mieux les raisonner  », constate David Fleyrat, directeur de l’établissement. «  Nous accueillons des enfants phobiques qui ont peur du cabinet dentaire, des bruits, des instruments… Ils ne veulent pas se laisser soigner, ont peur de l’anesthésie et bougent au risque de se blesser. Ils ont néanmoins besoin de soins.

Cette prise en charge personnalisée permet de les réaliser en toute sécurité tout en gérant leur angoisse  », explique le chirurgien. Notons que ces enfants doivent d’abord passer chez leur dentiste qui les dirige vers la clinique s’il estime ne pas pouvoir les soigner. Les soins sont pratiqués sous anesthésie générale à la clinique, qui est dotée d’un plateau technique. Plusieurs étapes sont alors nécessaires : la préparation anesthésique, la technique d’anesthésie : un endormissement rapide et un réveil «  confortable  ». 

«  Mais tout démarre par la conversation thérapeutique où l’on explique bien ce qui va se passer  » indique le directeur de l’établissement. Des agents anesthésiques locaux peuvent aussi être utilisés afin de ne pas avoir mal après chirurgie. «  Face à la demande accrue sur notre territoire, il y avait un réel besoin d’étoffer l’offre de soins  », poursuit David Fleyrat.







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