Soins dentaires, le reste-à-charge c’est trop

L’UNCAM (union nationale des caisses d’assurance maladie), les chirurgiens dentistes et l’UNOCAM (union nationale des complémentaires santé) négocient la future convention nationale CPAM/Chrirugiens-dentistes. La sécurité sociale (UNCAM) propose aux chirurgiens-dentistes une hausse des tarifs des soins les plus courants (caries, détartrage, reconstitution de dents etc.) en échange d’un plafonnement des prix des couronnes, bridges et prothèses. Vous pouvez chercher plus de Lampe à polymériser dentaire sur outil dentiste.



Leurs syndicats estiment dans un communiqué que ces propositions de tarification-sécu sont "déconnectés parce qu’ils ne tiennent pas compte des innovations techniques et plus onéreuses ». Ils n’acceptent pas non plus qu’un règlement arbitral se substitue à la convention en cas d’échec des négociations. En conséquence, ils appellent à une manifestation le 3 mars. C’est également pour cette raison que les étudiants en chirurgie dentaire sont en grève depuis le 13 janvier. Ils considèrent selon une dépêche AFP qu’une telle proposition de l’UNCAM « ne nous donne pas les moyens d’appliquer ce que l’on apprend depuis six ans à l’université. » Qy'est-ce que les micro moteurs ?

Cependant, conscients que les coûts des soins dentaires, des prothèses, bridges et couronnes sont un frein pour les patients, ils demandent « un vrai investissement dans les soins de prévention ». A propos de la prévention,  l’UNOCAM (mutuelles), premier financeur des soins dentaires, s’est donnée pour but, lors de ces négociations conventionnelles, "d’améliorer son accès ainsi que la qualité des soins". Pour atteindre cet objectif, elle estime que « les partenaires conventionnels (sécu, mutuelles et dentistes) doivent rééquilibrer le modèle économique de l’activité dentaire, entre prévention et soins conservateurs et chirurgicaux d’une part et prothétiques et d’implantologie d’autre part. »

Mais il faut avoir une mutuelle haut de gamme et donc coûteuse pour être bien remboursé. Ce qui n’est pas le cas des mutuelles d'entreprise puisque le minimum prévu par la loi est fixé à  125% du tarif conventionnel de l’assurance maladie ! De toute façon,  ce sont les patients qui cotisent et donc financent les mutuelles et tous n’en ont pas !







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